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vendredi 29 octobre 2010

Réparation et kite à El Jadida









Arrivé à El Jadida, je rejoins mon ami Hamid, ex GO voile au club med d'el gouna. On passe une soirée fort sympa avec ses amis. Belles retrouvailles. Je passe la nuit chez lui pendant que le gardien de la rue veille sur mon camion.



Petite rue d'El Jadida



Jeudi 28 octobre:


Mission du jour, réparé le pot d'échappement du camion. On trouve rapidement un spécialiste de ce type de réparation. Une petite boutique avec des pots d'échappement accroché au mur. Il découpe le mien et en met un neuf qui va bien. Réparation rapide et nikel pour 300 dirham (environ 28 euros). Mon camion n'a jamais été aussi silencieux. Petite soirée ciné chez amid avec le vidéoprojecteur.


Vendredi 29 octobre:


Aujourd'hui, un peu de vent est annoncé. Direction Sidi Bousid, a 3km de el Jadida. Beau spot mais le vent est un peu stable. Ca permet de rencontrer un peu les kiteurs locaux. Ambiance sympa. De belles vagues casse sur la côte.



Hamid et Ayoud, la dream team kite d'EL JAdida:

jeudi 28 octobre 2010

Voyage vers El Jadida


Mardi 26 Octobre:

Après une bonne nuit de repos au bord de l'eau, je reprend la direction de Rabat pour aller à l'ambassade de Mauritanie afin de faire mon visa. Une bonne demi heure de queu m'attend. Je dépose tout et m'en vais voir le palais royal situé à coté. Mais on peut juste le voir de l'extérieur. J'attend jusque 15h afin de récupéré mon visa. Et pendant l'attente je rencontre un couple de jeunes français parti pour cinq mois de vacance à travers l'Afrique. On décide de partir ensemble. On se pose à 15km de Rabat dans un lieu très sympa au bord de l'eau. Vu qu'il y a un peu de vent je m'essaye au kite mais sans trop de succès car le vent est trop faible. On partage un repas en parlant voyage avant que chacun ne retrouve son lit respectif.







Mercredi 27 Octobre:

Départ en direction de El Jadidda au sud de Rabat ou je doit retrouver mon ami Amid avec qui je travaillais quand j'étais au club med à El Gouna. La route est très bonne et le plus souvent la nationale est une deu fois deux voies. Royal. Il y a comme ailleurs au Maroc des contrôles de police un peu partout. Avec cet intitulé, « arrêt, gendarmerie Royal ». Je m'arrête dans une station essence et en profite pour demander si on peut pas réparer mon pot d'échappement surtout que le policier m'a dit que j'étais en infraction. Le mécano me dit qu'il y a pas de souci. En fait il découpe des cannettes de red bull pour les plaquer contre les trous avant de passer une sorte d'enduit et de faire tenir tout ça avec du fil de fer. C'est sur ça va pas tenir. Mais bon c'est déjà bien essayé.
Je continue ma route et m'arrête dans un petit snack en ville pour prendre un sandwich a la Kefta avec des frites. Pour 12 dirham, environ Un euros dix, c'est parfait. Je continue ma route jusqu'à el Jaddida et prend un auto stoppeur qui s'avère être prof de français au collège.








Suite du voyage au maroc...

Dimanche 24 octobre:

Départ en direction de Rabat. Je passe un peu de temps à Larache pour profiter d'un bon sandwith sur une terasse innondé de soleil en bord de mer. Il fait une température idéale. La route se passe sans souci par la nationale. On y croise des paysans en bord de route qui vende leur production. Et je m'arrête pour prendre un auto stoppeur marocain. Certainement un paysans qui sort des champs. La discussion est assez limité vu qu'il ne parle qu'arabe. Les paysages agricole défilent.





J'arrive finalement a rabat au début de la nuit. Je suis étonné d'y voir une ligne de tramway en construction. L'idée est de trouvé un coin tranquille pour passer la nuit. Je me dirige donc vers les quartiers résidentiel. Il y a des gardiens devant les parkings des immeubles. Avant de me coucher le gardien vient me voir et me demande un peu d'argent. « je surveille ton camion, tu peux dormir tranquille » Je lui donne donc 10 dirham (Un euro) Si ça peut un peu augmenter son salaire, tant mieux. Il me semble que partout gardien et l'un des métiers les plus mal payé.
Lundi 25 octobre:
Départ à la recherche des ambassades pour faire les visas. Et c'est pas une mince affaire car c'est grand Rabat. Bref, après de fastidieuse recherche je trouve enfin l'ambassade de Mauritanie. Manque de chance, elle arrête les demandes de visa à 11h et il est 11h 10. Je passe aussi à l'ambassade du mali et celle du burkina faso. Je prend la route direction la mer et me pose au bord de l'eau dans un quartier très chic.







Traverseé Barcelone-Tanger

Vendredi 22 octobre:

Salim qui du coup n'a plus de train pour valencia dort dans le camion avec moi et je laisse le lendemain à 6h30 à la gare. Pour moi, direction le port de Barcelone. Une fois arrivé, je fixe mes plaques d'immatriculation que je n'avais pas pu faire avant de partir. Je fais cela avec simplement de l'élastique noir. C'est juste pour pas riqué des problèmes avec la douane au Maroc. Je trouverai une fixation plus soilde une fois là bas. Je me met en attende à coté d'autres camions tous plus chargé les uns que les autres. A coté le mien est quasi vide... On embarque sans souci et départ vers 12h direction Tanger.

Dans le bateau, je rencontre tout de suite deux motards qui partent faire un trek d'une dizaine de jours au Maroc. Le courant passe très bien et ça discute bécane un bon moment. Le bateau est plutôt confortable avec un personnel entièrement espagnol. Les discussion, moteur, suspension, performance, vitesse, trek et piste africaine vont bon train et on rencontre encore d'autres motard parti pour un petit tour dans le Maroc. Malheureusement, on ne peut pas dormir dans les véhicule et je dors du coup par terre entre deux rangé de sièges.
Samedi 23 octobre: Après une bonne nuit de sommeil réparatrice (3h de sommeil la nuit dernière ça aide à trouver le repos), petit dej dans la salle polyvalente autour de discussion.....moto bien sur. Décidément, on peut parler de deux roues pendant des heures.....


Je rencontre un jeune burkinabé qui part là bas avec sa voiture vendre un peu de matos ainsi que sa voiture. On sympathise bien et je promet de l'appeler une fois au Burkina, histoire d'aller boire un verre ensemble. Les papiers des douanes marocaines se font sans souci dans le bateau.
Finalement après 34h de traversée, on arrive enfin à Tanger Med, le port de tanger qui se situe en fait à 50km de Tanger. On à prévu avec les amis motard de descendre jusqu'à Larache ou il doit y avoir une aire de repos gratuite afin d'y passer la nuit.









Après le contrôle douanier effectué (moins de 5mn), j'ouvre donc la route vers Larache avec quatre motards derrière. Je fais un peu voiture de Tête du Dakar. En plus, l'ami qui a qu'une 125 se met juste derrière moi pour profiter de l'aspiration.
On trouve cette aire avec douche et toilette gratuite et après quelques verre on trouve un repose bien mérité.












Début du voyage...

Jeudi 21 octobre:


Après environ six mois de travail afin de récolter l'argent nécessaire au voyage me voilà enfin sur le départ pour cette aventure à travers l'Afrique. J'avais mis quelques jours auparavant une annonce sur le net afin de chercher des personnes intéressé par le co voiturage. J pars donc en compagnie de Rémi jusqu'à Marseille. Rémi qui s'avère être le propriétaire de l'école de kite du lautaret. Bonne discussion et ambiance sympa donc sur le trajet. On fait juste une petite halte à aix afin d'acheter un générateur d'électricité pour là bas. Générateur qui doit me permettre de faire des projections ciné avec mon vidéo projecteur dans les petits village africain.

Arrivé à Marseille je laisse Rémi pour récupérer Salim un jeune marocain étudiant à Valencia qui m'accompagnera jusqu'à Barcelone. Le trajet se passe sans souci. Seul hic, à une station essence arrivé en Espagne, je remarque que le frein à main reste bloqué. C'était en fait juste le pot d'échappement qui s'était légèrement décalé qui touché donc un peu sur les câbles du frein à main. Deux minute sous le camion et c'est réglé. On arrive donc sans encombre à Barcelone à 3h du matin.